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Des données sur la faune et la flore de ce site sont acquises depuis 1999. Un inventaire important a été effectué en 1999 sans protocole particulier (CPIE Chaîne des Terrils) puis un autre en 2007 dans le cadre du programme INTERREG franco-wallon (Evaluation Biologique Standardisée des Terrils franco-wallon). A ce jour ce sont 227 données naturalistes qui sont consignées dans la Base de Données du CPIE Chaîne des Terrils dont 202 données pour la faune et 25 données pour la flore.
 
Des données sur la faune et la flore de ce site sont acquises depuis 1999. Un inventaire important a été effectué en 1999 sans protocole particulier (CPIE Chaîne des Terrils) puis un autre en 2007 dans le cadre du programme INTERREG franco-wallon (Evaluation Biologique Standardisée des Terrils franco-wallon). A ce jour ce sont 227 données naturalistes qui sont consignées dans la Base de Données du CPIE Chaîne des Terrils dont 202 données pour la faune et 25 données pour la flore.
  
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Les mammifères ont peu été étudiés sur le site. On note la présence d’espèces bien visibles comme le Lapin de Garenne, le Lièvre d’Europe, la Taupe d’Europe. Des espèces moins facilement visibles de par leurs mœurs plus nocturnes ont été identifiées grâce à des empreintes laissées comme la Fouine (''Martes foina''). Toutes ces espèces sont communes à l’échelle régionale, un inventaire plus complet mériterait d’être effectué mais toutes les espèces de micromammifères sont difficiles à capturer.
 
Les mammifères ont peu été étudiés sur le site. On note la présence d’espèces bien visibles comme le Lapin de Garenne, le Lièvre d’Europe, la Taupe d’Europe. Des espèces moins facilement visibles de par leurs mœurs plus nocturnes ont été identifiées grâce à des empreintes laissées comme la Fouine (''Martes foina''). Toutes ces espèces sont communes à l’échelle régionale, un inventaire plus complet mériterait d’être effectué mais toutes les espèces de micromammifères sont difficiles à capturer.
  
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Ont déjà été contactées sur le site 39 espèces d’oiseaux donc 19 sont considérées comme nicheuses probable et 4 comme nicheuses possible, 16 n’ont pas de statut de reproduction sur le site étant donné le faible nombre d’inventaires en période de nidification ou parce qu’il s’agit d’espèces n’utilisant le site qu’en période de migration ou comme zone de nourrissage (Faucon crécerelle).
 
Ont déjà été contactées sur le site 39 espèces d’oiseaux donc 19 sont considérées comme nicheuses probable et 4 comme nicheuses possible, 16 n’ont pas de statut de reproduction sur le site étant donné le faible nombre d’inventaires en période de nidification ou parce qu’il s’agit d’espèces n’utilisant le site qu’en période de migration ou comme zone de nourrissage (Faucon crécerelle).
  
==AMPHIBIENS==
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Sur ce site, une petite mare temporaire est présente au pied du terril. Trois espèces d’amphibiens s’y reproduisent chaque année. Il s’agit du Crapaud calamite (''Bufo calamita''), du Pélodyte ponctué (''Pelodytes punctatus'') et de la Grenouille rousse (''Rana temporaria'').
 
Sur ce site, une petite mare temporaire est présente au pied du terril. Trois espèces d’amphibiens s’y reproduisent chaque année. Il s’agit du Crapaud calamite (''Bufo calamita''), du Pélodyte ponctué (''Pelodytes punctatus'') et de la Grenouille rousse (''Rana temporaria'').
  
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Deux espèces de reptile sont présentes sur le Terril d’Audiffret, le Lézard des murailles (''Podarcis muralis'') et le Lézard vivipare (''Zootoca vivipara''). Alors que le premier affectionne particulièrement les pentes ensoleillées où se trouve à la fois une végétation arbustive ou de ronciers et des végétations herbacées (pelouse rase ou friche haute), le second préfère les zones à caractère humide où il trouve sa nourriture dans les végétations herbacées (friche élevée).
 
Deux espèces de reptile sont présentes sur le Terril d’Audiffret, le Lézard des murailles (''Podarcis muralis'') et le Lézard vivipare (''Zootoca vivipara''). Alors que le premier affectionne particulièrement les pentes ensoleillées où se trouve à la fois une végétation arbustive ou de ronciers et des végétations herbacées (pelouse rase ou friche haute), le second préfère les zones à caractère humide où il trouve sa nourriture dans les végétations herbacées (friche élevée).
  
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Seules 2 espèces de libellules ont été contactées sur le terril d’Audiffret. La présence d’une zone en eau temporaire seulement ne permet à se groupe faunistique de se développer sur ce site. Aussi, on rencontre le Leste vert (''Chalcolestes viridis'') et le Sympetrum à côtes striées (''Sympetrum striolatum'') mais exclusivement des adultes de passage, à la recherche de sites de reproduction et de pontes.
 
Seules 2 espèces de libellules ont été contactées sur le terril d’Audiffret. La présence d’une zone en eau temporaire seulement ne permet à se groupe faunistique de se développer sur ce site. Aussi, on rencontre le Leste vert (''Chalcolestes viridis'') et le Sympetrum à côtes striées (''Sympetrum striolatum'') mais exclusivement des adultes de passage, à la recherche de sites de reproduction et de pontes.
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Au total, 18 espèces de papillons ont été recensées jusqu’à présent soit 16 espèces de rhopalocères et 2 espèces d’hétérocères. Les espèces recensées sont considérées pour 2 espèces comme assez communes dans la région NPDC, 6 espèces comme communes et 7 espèces comme très communes. La seule espèce sortant de l’ordinaire est la Piéride de la moutarde (''Leptidea sinapsis''), elle est mentionné car assez rare en région (source GON). Il s’agit d’une espèce autrefois présente dans notre région uniquement dans l’Avesnois et qui semble coloniser la région par les voies de chemin de fer abandonnées ou encore en activité, les terrils. Cette espèce, venant du sud de la France affectionne les milieux chauds et secs, c’est pourquoi on la rencontre de plus en plus fréquemment sur les terrils de la région.
 
Au total, 18 espèces de papillons ont été recensées jusqu’à présent soit 16 espèces de rhopalocères et 2 espèces d’hétérocères. Les espèces recensées sont considérées pour 2 espèces comme assez communes dans la région NPDC, 6 espèces comme communes et 7 espèces comme très communes. La seule espèce sortant de l’ordinaire est la Piéride de la moutarde (''Leptidea sinapsis''), elle est mentionné car assez rare en région (source GON). Il s’agit d’une espèce autrefois présente dans notre région uniquement dans l’Avesnois et qui semble coloniser la région par les voies de chemin de fer abandonnées ou encore en activité, les terrils. Cette espèce, venant du sud de la France affectionne les milieux chauds et secs, c’est pourquoi on la rencontre de plus en plus fréquemment sur les terrils de la région.
  
===Orthoptères (criquets, sauterelles, grillons)===
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====Orthoptères (criquets, sauterelles, grillons)====
  
 
Les orthoptères ont également fait l’objet d’inventaires, 8 espèces ont été contactées. Nous trouvons parmi ces espèces le cortège classique des terrils avec le Criquet à ailes bleues (''Oedipoda caerulescens''), à l’origine hôte des dunes mais qui a trouvé sur les terrils des milieux chauds et secs favorables à son installation, les criquets mélodieux et duettiste (''Chorthippus brunneus'' et ''biggutulus'') qui sont des espèces que l’on retrouve particulièrement sur les terrils dans les zones de schistes nues ou de végétations pionnières. Le Méconème mériodinal (''Meconema meridionale'') est présent sur ces terrils, c’est une espèce du sud de la France qui a trouvé refuge sur les terrils qui ont tendance à être chauds et secs.
 
Les orthoptères ont également fait l’objet d’inventaires, 8 espèces ont été contactées. Nous trouvons parmi ces espèces le cortège classique des terrils avec le Criquet à ailes bleues (''Oedipoda caerulescens''), à l’origine hôte des dunes mais qui a trouvé sur les terrils des milieux chauds et secs favorables à son installation, les criquets mélodieux et duettiste (''Chorthippus brunneus'' et ''biggutulus'') qui sont des espèces que l’on retrouve particulièrement sur les terrils dans les zones de schistes nues ou de végétations pionnières. Le Méconème mériodinal (''Meconema meridionale'') est présent sur ces terrils, c’est une espèce du sud de la France qui a trouvé refuge sur les terrils qui ont tendance à être chauds et secs.
 
Enfin, les autres espèces sont des espèces très communes dans la région comme la Grande Sauterelle verte (''Tettigonia viridissima''), le Criquet des pâtures (''Chorthippus parallelus'') ou la Decticelle cendrée (''Pholidoptera griseoaptera'').
 
Enfin, les autres espèces sont des espèces très communes dans la région comme la Grande Sauterelle verte (''Tettigonia viridissima''), le Criquet des pâtures (''Chorthippus parallelus'') ou la Decticelle cendrée (''Pholidoptera griseoaptera'').
  
===Coccinelles===
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Pas moins de 11 espèces de coccinelles ont trouvé refuge sur le Terril d’Audiffret. Parmi elles des espèces communes pour la région comme la Coccinelle à 7 points (''Coccinella septempunctata''), une espèce problématique, la Coccinelle asiatique (''Harmonia axyridis''). Des espèces plus particulières de part les milieux qu’elles occupent comme la Coccinelle des roseaux (''Anisosticta novemdecimpunctata'') ou encore la Petite Coccinelle orange (''Vibidia duodecimguttata''). Egalement des espèces microscopiques (seulement 1 mm) comme ''Scymnus apetzi'' ou ''Scymnus suturalis''.
 
Pas moins de 11 espèces de coccinelles ont trouvé refuge sur le Terril d’Audiffret. Parmi elles des espèces communes pour la région comme la Coccinelle à 7 points (''Coccinella septempunctata''), une espèce problématique, la Coccinelle asiatique (''Harmonia axyridis''). Des espèces plus particulières de part les milieux qu’elles occupent comme la Coccinelle des roseaux (''Anisosticta novemdecimpunctata'') ou encore la Petite Coccinelle orange (''Vibidia duodecimguttata''). Egalement des espèces microscopiques (seulement 1 mm) comme ''Scymnus apetzi'' ou ''Scymnus suturalis''.
  
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A ce jour, ce sont seulement 17 espèces végétales qui ont été contactées sur ce site par le CPIE Chaîne des Terrils. Cet inventaire est loin d’être exhaustif, le CPIE Chaîne des Terrils n’ayant pas actuellement de programme particulier permettant d’effectuer des inventaires sur la flore. Ces données sont dons recueillies essentiellement dans le cadre des sorties nature du Conseil Général du Nord.
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A ce jour, ce sont seulement 17 espèces végétales qui ont été contactées sur ce site par le CPIE Chaîne des Terrils.
Parmi les espèces d’ores et déjà recensées, notons la présence de 3 espèces protégées au niveau régional : le Catapode des graviers (''Micropyrum tenellum''), l’Oseille à feuilles d’écussons (Rumex scutatus), le Prunier de Sainte-Lucie (''Prunus mahaleb''). Les deux dernières espèces citées ici sont considérées comme rares à l’échelle régionale.
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Cet inventaire est loin d’être exhaustif, le CPIE Chaîne des Terrils n’ayant pas actuellement de programme particulier permettant d’effectuer des inventaires sur la flore. Ces données sont dons recueillies essentiellement dans le cadre des sorties nature du Conseil Général du Nord.
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Parmi les espèces d’ores et déjà recensées, notons la présence de 3 espèces protégées au niveau régional : le Catapode des graviers (''Micropyrum tenellum''), l’Oseille à feuilles d’écussons (''Rumex scutatus''), le Prunier de Sainte-Lucie (''Prunus mahaleb'').
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Les deux dernières espèces citées ici sont considérées comme rares à l’échelle régionale.

Version actuelle en date du 5 février 2016 à 18:03

Des données sur la faune et la flore de ce site sont acquises depuis 1999. Un inventaire important a été effectué en 1999 sans protocole particulier (CPIE Chaîne des Terrils) puis un autre en 2007 dans le cadre du programme INTERREG franco-wallon (Evaluation Biologique Standardisée des Terrils franco-wallon). A ce jour ce sont 227 données naturalistes qui sont consignées dans la Base de Données du CPIE Chaîne des Terrils dont 202 données pour la faune et 25 données pour la flore.

Sommaire

FAUNE

MAMMIFERES

Les mammifères ont peu été étudiés sur le site. On note la présence d’espèces bien visibles comme le Lapin de Garenne, le Lièvre d’Europe, la Taupe d’Europe. Des espèces moins facilement visibles de par leurs mœurs plus nocturnes ont été identifiées grâce à des empreintes laissées comme la Fouine (Martes foina). Toutes ces espèces sont communes à l’échelle régionale, un inventaire plus complet mériterait d’être effectué mais toutes les espèces de micromammifères sont difficiles à capturer.

AVIFAUNE

Ont déjà été contactées sur le site 39 espèces d’oiseaux donc 19 sont considérées comme nicheuses probable et 4 comme nicheuses possible, 16 n’ont pas de statut de reproduction sur le site étant donné le faible nombre d’inventaires en période de nidification ou parce qu’il s’agit d’espèces n’utilisant le site qu’en période de migration ou comme zone de nourrissage (Faucon crécerelle).

AMPHIBIENS

Sur ce site, une petite mare temporaire est présente au pied du terril. Trois espèces d’amphibiens s’y reproduisent chaque année. Il s’agit du Crapaud calamite (Bufo calamita), du Pélodyte ponctué (Pelodytes punctatus) et de la Grenouille rousse (Rana temporaria).

REPTILES

Deux espèces de reptile sont présentes sur le Terril d’Audiffret, le Lézard des murailles (Podarcis muralis) et le Lézard vivipare (Zootoca vivipara). Alors que le premier affectionne particulièrement les pentes ensoleillées où se trouve à la fois une végétation arbustive ou de ronciers et des végétations herbacées (pelouse rase ou friche haute), le second préfère les zones à caractère humide où il trouve sa nourriture dans les végétations herbacées (friche élevée).

ENTOMOFAUNE

Libellules

Seules 2 espèces de libellules ont été contactées sur le terril d’Audiffret. La présence d’une zone en eau temporaire seulement ne permet à se groupe faunistique de se développer sur ce site. Aussi, on rencontre le Leste vert (Chalcolestes viridis) et le Sympetrum à côtes striées (Sympetrum striolatum) mais exclusivement des adultes de passage, à la recherche de sites de reproduction et de pontes. Papillons de jour (Rhopalocères) et de nuit (Hétérocères) Au total, 18 espèces de papillons ont été recensées jusqu’à présent soit 16 espèces de rhopalocères et 2 espèces d’hétérocères. Les espèces recensées sont considérées pour 2 espèces comme assez communes dans la région NPDC, 6 espèces comme communes et 7 espèces comme très communes. La seule espèce sortant de l’ordinaire est la Piéride de la moutarde (Leptidea sinapsis), elle est mentionné car assez rare en région (source GON). Il s’agit d’une espèce autrefois présente dans notre région uniquement dans l’Avesnois et qui semble coloniser la région par les voies de chemin de fer abandonnées ou encore en activité, les terrils. Cette espèce, venant du sud de la France affectionne les milieux chauds et secs, c’est pourquoi on la rencontre de plus en plus fréquemment sur les terrils de la région.

Orthoptères (criquets, sauterelles, grillons)

Les orthoptères ont également fait l’objet d’inventaires, 8 espèces ont été contactées. Nous trouvons parmi ces espèces le cortège classique des terrils avec le Criquet à ailes bleues (Oedipoda caerulescens), à l’origine hôte des dunes mais qui a trouvé sur les terrils des milieux chauds et secs favorables à son installation, les criquets mélodieux et duettiste (Chorthippus brunneus et biggutulus) qui sont des espèces que l’on retrouve particulièrement sur les terrils dans les zones de schistes nues ou de végétations pionnières. Le Méconème mériodinal (Meconema meridionale) est présent sur ces terrils, c’est une espèce du sud de la France qui a trouvé refuge sur les terrils qui ont tendance à être chauds et secs. Enfin, les autres espèces sont des espèces très communes dans la région comme la Grande Sauterelle verte (Tettigonia viridissima), le Criquet des pâtures (Chorthippus parallelus) ou la Decticelle cendrée (Pholidoptera griseoaptera).

Coccinelles

Pas moins de 11 espèces de coccinelles ont trouvé refuge sur le Terril d’Audiffret. Parmi elles des espèces communes pour la région comme la Coccinelle à 7 points (Coccinella septempunctata), une espèce problématique, la Coccinelle asiatique (Harmonia axyridis). Des espèces plus particulières de part les milieux qu’elles occupent comme la Coccinelle des roseaux (Anisosticta novemdecimpunctata) ou encore la Petite Coccinelle orange (Vibidia duodecimguttata). Egalement des espèces microscopiques (seulement 1 mm) comme Scymnus apetzi ou Scymnus suturalis.

FLORE

A ce jour, ce sont seulement 17 espèces végétales qui ont été contactées sur ce site par le CPIE Chaîne des Terrils.

Cet inventaire est loin d’être exhaustif, le CPIE Chaîne des Terrils n’ayant pas actuellement de programme particulier permettant d’effectuer des inventaires sur la flore. Ces données sont dons recueillies essentiellement dans le cadre des sorties nature du Conseil Général du Nord.

Parmi les espèces d’ores et déjà recensées, notons la présence de 3 espèces protégées au niveau régional : le Catapode des graviers (Micropyrum tenellum), l’Oseille à feuilles d’écussons (Rumex scutatus), le Prunier de Sainte-Lucie (Prunus mahaleb).

Les deux dernières espèces citées ici sont considérées comme rares à l’échelle régionale.

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